Les partenaires techniques ayant manifestés leur intérêt pour le projet ont été rencontrés au cours du mois de janvier. Les objectifs de ces entretiens étaient de faire connaissance, cerner les travaux et missions de chacun en lien avec le projet, discuter du cadre du projet, et enfin, recueillir les attentes de chaque partenaire. Parmi les attentes recueillies lors de ces entretiens, la volonté d’approfondir la complémentarité entre projets, missions et expérimentations menés par les partenaires, est fortement ressortie.
Une réunion de calage s’est ensuite tenue au début du mois de février réunissant l’ensemble des partenaires techniques pressentis du projet pour valider les différentes actions structurant la première phase du projet et identifier l’implication de chaque structure.
Des échanges en bilatéral avec ces partenaires techniques ont eu lieu suite à cette réunion pour affiner leur degré d’implication dans le projet. Par ailleurs, et tout au long de l’année, des rencontres et échanges se sont tenus avec d’autres structures intéressées par le projet, aujourd’hui partenaires techniques ou associés, pour définir également leur implication dans la première phase du projet.
Faute de pouvoir organiser le comité de lancement du projet au printemps du fait de la situation sanitaire de 2020, une réunion d’avancement en visio-conférence a été organisée pour (i) maintenir une dynamique malgré le confinement, (ii) présenter et discuter de l’état d’avancement du projet, (iii) organiser la suite des actions et (iv) répondre aux questions de chacun. Le nom « GAZELLE » a aussi été validé suite à un sondage.
Le comité de lancement s’est tenu au début du mois d’octobre et en plénière, c’est-à-dire avec l’ensemble des partenaires, techniques, associés et financeurs. Cet événement a eu lieu en visio-conférence également, sur une journée entière. Le matin avait pour objectifs de (i) valider les fondements et la gouvernance du projet, (ii) présenter et discuter de l’état d’avancement du projet et (iii) organiser la suite des actions. L’après-midi avait, quant à elle, pour vocation de créer du lien avec d’autres projets et initiatives complémentaires à GAZELLE et de porter à connaissance de l’ensemble du partenariat l’utilisation de l’indicateur APL (Azote Potentiellement Lessivable) en Wallonie via la structure Protect’eau, à la requête des partenaires ressortant de la série d’entretiens menée en janvier auprès des partenaires techniques intéressés par le projet.